DÉCRUE
Mes ralentissements ne sortent pas
tes gloussements non plus
Alors je me lave les mains de ça
je lève mes reins de ce tas
je rince les freins de ma lamassitude
je décloue mes galoupes de ce krâ
j’abhorre ce flou
j’accroisse ce la
raison de t’aimer
alors je fou de nouveau comme un puits doulou
je ramène les étales d’un ner frais
pour en couvrir tes chevaux de Troie
ô ma Baal
ma baleine
nappe de fioul oh ma mâle aise
mal à l’aine
grillitude au sein de l’horror
phaplallitude au creux de l’humeur
blanche platitude
ô phâle Lune et parc de Pornos
comme morte.